PORTE OUVERTE

rsvp : 301 529 7810 ou fdmwashingtonadfe@gmail.com

En-tete

Français du Monde – ADFE – Washington

vous invite à rencontrer notre association

Monique Curioni, Conseillère Consulaire

vous rendra compte de ses activités et de ses déplacements dans la circonscription

avec Christiane Ciccone, Présidente de la section

elles répondront à vos questions sur

Les bourses scolaires, la fiscalité, la retraite, la couverture médicale….

Mercredi 6 mai de 19h à 20h30

Salle Tocqueville de

L’Ambassade de France

4401 Reservoir Road, NW

Washington, DC 20008

 

RSVP obligatoire pour pouvoir accéder à l’Ambassade

301 529 7810 ou fdmwashingtonadfe@gmail.com

 

 

NOUVELLE DATE : 24 mars, conférence
« ETRE SANS ABRI »

Inscription : Cliquer Ici !  ou fdmwashingtonadfe@gmail.com ou 301-529-7810

SansAbri

Francais du Monde -ADFE vous invite à une conférence de Jean-Michel Giraud, Directeur de Frienship Place.

Venez écouter comment son action et la vôtre peuvent faire une différence pour les sans-abri et peut-être un jour permettre à tous d’avoir un logement.

“Jean-Michel Giraud is the Executive Director of Friendship Place in Washington, DC. Since joining the organization in 2006, he has drawn on his 25 years of clinical experience in human services, his training in psychiatric rehabilitation, his expertise in recovery, and his commitment to person-centered programming to pioneer innovative program models that have moved DC’s entire homeless services system forward. In 2009 he was named to the DC Interagency Council on Homelessness and the board of the Coalition of Housing and Homeless Organizations, and in 2010 he received the Meyer Foundation Exponent Award for visionary nonprofit leadership.

Giraud’s focus on cost-effective, permanent solutions to homelessness has been lauded by the DC government, the DC VA Medical Center, and homeless service advocates. In the words of Nan Roman, Executive Director of the National Alliance to End Homelessness and member of the Friendship Place board, “He has become a leader in efforts to transform the homelessness systems in DC, challenging the city to move from band-aid approaches to permanent solutions.”

Lire la suite : http://www.huffingtonpost.com/jeanmichel-giraud/

Partenariat CFE-WellAway

La Caisse des Français de l’Étranger (CFE) vient d’annoncer officiellement la formalisation de son partenariat avec la société WellAway (gestionnaire d’assurances au service des expatriés) pour les Français résidant aux Etats-Unis.

Voici la copie du message de la Direction de la CFE adressé aux élus :
« La Caisse des Français de l’Etranger (CFE) tient à vous informer de la formalisation d’un partenariat entre elle et la société WellAway, gestionnaire d’assurances au service des expatriés.

La CFE ne pouvant pas remplir les conditions pour être agréée par l’administration américaine, elle a cependant souhaité pouvoir offrir une solution de couverture santé, pour ses adhérents (qui restent évidemment libres d’y souscrire ou non) comme pour toute personne de nationalité française résidant aux Etats-Unis.

Les discussions intervenues entre la CFE et WellAway ont abouti à la proposition d’un produit d’assurance totalement conforme aux exigences de l’ACA (Affordable Care Act, ou «loi Obamacare») valable sur l’ensemble du territoire américain

Cette offre, dédiée aux Français qui vivent aux Etats-Unis, permettra à ses bénéficiaires d’accéder à des services spécialement conçus pour les expatriés, à un tarif adapté, dont les services sont coordonnés avec la CFE pour les remboursements des soins délivrés aux Etats-Unis. Lorsque les soins interviendront hors des Etats-Unis, et notamment en France, la CFE interviendra seule pour le remboursement.

WellAway, qui s’appuiera sur son centre de gestion Payerfusion, a recruté des gestionnaires français pour se préparer à cette perspective. Son réseau compte plus de 1 million de professionnels de santé aux Etats-Unis, dont beaucoup de praticiens francophones.

La CFE reste à votre disposition pour plus d’informations »

Plus de détails sur :
www.wellaway.com
www.wellaway.com/fr/programmes-pour-expatries/regime-cfe-francais
Tél. en France : 01 78 90 38 68
Tél. aux USA : +1 855 773 7810
info@wellaway.com

Pour la CFE, à l’adresse: http://www.cfe.fr/pages/cfe/actualite.php

Retour en France : questionnaire

Le Premier ministre a confié à la Sénatrice des Français de l’étranger, Madame  Hélène Conway-Mouret une mission parlementaire relative au retour en France des Français de l’étranger :
http://www.helene-conway.com/wp-content/uploads/2014/11/Scan0002.pdf

Cette mission devra envisager les aides au retour mise en place pour les Français expatriés qui souhaitent revenir vivre en Métropole.

Afin d’avoir un retour d’expérience de nos compatriotes établis à l’étranger, un questionnaire a été mis en ligne : 
https://sphinxdeclic.com/d/s/kimnhx

Vous pouvez aussi aussi déposer vos témoignages à :
contact@helene-conway.com

Ce questionnaire sera disponible jusqu’au 20 février.

Fermeture des comptes bancaires / Loi FATCA

Le Sénateur Richard Yung répond à Annie Michel* qui l’avait  interrogé au sujet de la mise en application de la loi FATCA et de la fermeture automatique des comptes bancaires à laquelle procèdent certains organismes financiers.

Madame la Conseillère,

J’ai le plaisir de vous informer que la Fédération bancaire française (FBF) vient de nous apporter des précisions quant aux conditions de mise en oeuvre de l’accord franco-américain du 14 novembre 2013, dit « accord FATCA ».

La FBF a récemment sondé tous les réseaux bancaires français sur la façon dont ils se conforment aux nouvelles exigences réglementaires.

Parmi les grands réseaux bancaires, aucun établissement ne procède actuellement à la fermeture automatique des comptes.

En revanche, dans les petits réseaux bancaires, il semble que la fermeture automatique soit souvent privilégiée en raison des nombreux risques juridiques encourus. La FBF a mentionné l’exemple d’Axa Banque.

D’après la FBF, l’Investment Advisers Act – dont le champ d’application a été modifié par le Dodd Frank Act – rend également les « choses compliquées ». L’un des réseaux interrogés par la FBF ferme automatiquement le compte après deux relances sans réponse de la part du titulaire du compte.

Le droit au compte bancaire étant garanti par l’article L. 312-1 du code monétaire et financier, les personnes dont le compte a été fermé ont la possibilité de saisir le médiateur de leur banque (voir la lettre type). Elles peuvent également saisir la succursale de Paris Bastille de la Banque de France, qui a mis en place une « procédure d’urgence » (01.44.61.15.00/infos@banque-france.fr).

J’espère que ces informations vous seront utiles.

*Annie Michel est Conseillère consulaire de la circonscription de New-York . Elle était Conseillère à l’AFE jusqu’à la décision du Conseil d’Etat qui a invalidé cette élection.

Merci Kersti !

Kersti et Denis Colombant sont arrivés à Washington en 1973 avec leurs trois enfants. Ils déménageront en France sans enfants  en décembre 2014. Nous avons discuté avec Kersti de son parcours et de son engagement pour l’ADFE qui deviendra “Français du Monde-ADFE ».

– Comment l’ADFE a-t-elle été créée ?

Les choses se sont faites de fil en aiguille suite à mon engagement au lycée. Il faut dire que j’ai toujours été militante : dans les années 70 je manifestais contre la guerre du Vietnam avec Denis, je faisais partie de l’association Omega pour aider des Américains à fuir au Canada…

Mon engagement pour la communauté Française a commencé par rapport à mon travail d’enseignante au lycée Rochambeau. En fait, quand nous sommes arrivés à Washington, je n’ai pas eu de poste au lycée la première année, seulement la deuxième année.  J’étais  une des trois profs  d’anglais à l’école primaire dont la langue maternelle était l’anglais. Je me suis occupée de rédiger le programme de l’anglais pour l’école primaire.

A la fin de l’année scolaire,le jour de la fête,  on a appris qu’il n’y aurait plus de réduction des frais de scolarité pour nos enfants à la rentrée suivante. A ce moment-là, grâce à Colman McCarthy, un ami qui était journaliste au Washington Post et avec trois autres collègues, nous avons rencontré un syndicaliste américain de longue date qui nous a aidés à transformer l’Association des enseignants en syndicat indépendant américain. Cela a été fait avant la fin des classes. La majorité des enseignants a approuvé ce nouveau statut. Ensuite, nous avons pu négocier les salaires, la retraite, l’assurance maladie, les conditions de licenciement en commission paritaire, ce qui a débouché sur le premier contrat collectif,… J’étais très impliquée.

A ce moment-là, l’UFE s’est créée à Washington, et je suis allée assister à leurs activités. Suite à l’élection de François Mitterrand, l’ADFE-Washington a été créée en 1982 et j’ai été membre dès le début. On était environ 150 membres.

Une des premières choses que l’ADFE  nationale ait faite, a été de changer le mode de scrutin pour le Conseil Supérieur des Français de l’Etranger (CSFE) afin que les Français de l’étranger élisent eux-mêmes leurs représentants. J’ai été élue en 1985 et jusqu’en 2003. Pour le CSFE, j’étais déléguée pour la côte Est (Il y avait 2 circonscriptions Est et Ouest, séparées par les Rocheuses). Je voyageais beaucoup dans la circonscription et je me suis rendue compte que le premier problème était le manque d’informations. Ainsi j’ai  décidé d’écrire des bulletins d’informations. Et puis, j’ai fait des bulletins sur des sujets spécifiques (la nationalité, les femmes françaises aux Etats-Unis, la retraite, les bourses,) que j’envoyais à près de 1000 personnes. Ensuite, en tant que déléguée au CSFE, j’ai participé aux négociations pour différentes conventions : la sécurité sociale (La CFE a été crée en 1985 sous le gouvernement de Pierre Bérégovoy), la fiscalité, la formation professionnelle, les visas.

J’ai aussi beaucoup aidé de petites écoles à être conventionnées. Une autre chose très importante a été l’attibution des bourses et faire en sorte qu’elles soient accordées en fonction de certains critères.

Chaque commission avait ses propres règles. Jacques Paderi, un professeurr de maths au lycée, assisté de mon mari Denis et Jean Yves Defay, le Consul général ont   travaillé à élaborer un barème  qui par la suite fut  utilisé au niveau mondial.  Avant, chaque commission locale   avait  ses propres règles

– Quel bilan faites-vous de votre engagement?

Peut-être, je pourrais me définir comme une assistante sociale : J’ai toujours aimé aider les gens, le travail concret, la précision de l’ information. Et puis, à cette époque-là, il y avait moins de moyens de communication, les gens étaient plus isolés. Ils avaient envie de se retrouver entre Français.Ils avaient réellement besoin de délégués pour avoir accès à l’information. J’ai toujours accordé beaucoup d’importance à essayer d’apporter une information juste et précise, en particulier par rapport aux différences entre les législations française et américaine.

J’ai adoré aider les gens qui avaient essayé auprès du consulat ou tout seuls pour des problèmes de nationalité, de bourses,  de retraites ou autre, peu importe leur appartenance politique.

J’ai aussi beaucoup travaille pour les femmes, les femmes qui n’avaient pas de visa pour travailler, les femmes qui avaient perdu la nationalité. Ce fut  vraiment  une mission pour moi d’aider ces femmes à retrouver la nationalité française.

J’ai aussi participé à la création du Comité Tricolore: dans le cadre de ce comité, nous avons aidé beaucoup de vieilles dames qui avaient droit à une retraite, qui devaient être rapatriées.

– La communauté française a-t-elle  changé ?

Il y a beaucoup plus de jeunes, avant c’était plutôt des familles expatriées. Il y avait aussi plus un esprit militant, syndicaliste, les gens avaient plus envie de s’engager. C’était beaucoup plus difficile d’avoir des informations. Je me rappelle qu’il n’y avait qu’un seul magasin à Georgetown qui vendait des journaux en français. Donc, les gens cherchaient des informations, qu’ils ne trouvaient pas forcément au consulat. C’était très convivial au sein de l’ADFE, on faisait de grandes fêtes, des séances de cinéma pour les enfants où iI y avait beaucoup de personnes.

– Comment voyez-vous l’avenir de la section ?

C’est primordial de continuer à avoir des activités pour réunir des gens et de poursuivre le travail d’information pour les retraites, la formation, la fiscalité. C’est important de continuer à faire 3 bulletins par an, et d’utiliser davantage l’internet et les réseaux sociaux.

– Quel conseil donneriez-vous aux nouveaux élus, les conseillers consulaires ?

Je pense que l’information est primordiale, et c’est crucial d’essayer d’apporter une aide individualisée à chaque personne.

– Ce qui vous a donné le plus de satisfaction ?

C’est de trouver une solution pour les gens. Parfois, ça a pris 9 ans pour résoudre un dossier. Le plus enrichissant, c’est de trouver la bonne solution pour résoudre un problème, et c’est extrêmement gratifiant d’avoir la reconnaissance des gens. Et puis, je me suis bien entendue avec les ambassadeurs,j’ai bien travaillé avec le Consulat. Mon travail était reconnu dans la communauté.

En résumé, j’ai toujours été engagée et militante, et j’ai toujours apprécié de réussir à aider les gens dans la communauté française de Washington. J’ai eu la chance de rencontrer des gens qui m’ont beaucoup aidée au cours de mon parcours, Je me rappelle particulièrement de Robert Sobezynski, un professeur de gym au lycée, avec qui j’ai beaucoup discuté au début de mon engagement.

Et surtout, je n’aurai rien pu faire sans l’aide de mon mari, Denis, qui m’a toujours soutenue. J’étais souvent en déplacement ou en réunion et Denis s’occupait des enfants.Nous avons  aussi fait beaucoup d’activités, de réunions, de soirées ADFE à la maison. Nos enfants ont passé beaucoup de temps, par exemple, à mettre les bulletins d’informations de l’ADFE dans les enveloppes. Ils  en avaient parfois un peu marre ! Je me rappelle de notre plus jeune fils raccrochant au nez d’un sénateur qui téléphonait à la maison en lui disant “Je n’assure pas le secrétariat de ma mère”!

Les gens n’oublient pas, même quand ils sont partis parfois loin, ils continuaient d’appeler pour demander des renseignements.

A la fin de l’entretien, Denis intervient pour dire qu’il a été marqué par la fidélité de certaines personnes qu’elle avait aidées, leur reconnaissance envers Kersti. Ils ne l’oublient pas, même s’ils sont partis loin et depuis longtemps. Ils  appellent parfois pour saluer, rester en contact,  pour demander des renseignements.

Morgane Rolland et Monique Curioni

Visite à Charlottesville

Les 21 et 22 octobre 2014, notre Conseillère consulaire Monique Curioni a rendu visite aux Français de Charlottesville.

Visite de l’école internationale de Charlottesville, réunion publique, visite aux petits entrepreneurs, rencontre avec les adhérents de l’Alliance Française… Deux journées très enrichissantes et de prises de contact.  Joëlle Azaïs et Stéphane Raynaud de Fitte ont présenté notre association.

Lire la suite : http://francaisdegauche-washington2014.org/?p=446photo6 11.50.17 AM